Les femmes censurées

Karen Blixen
Aujourd'hui, nous parlons de femmes censurées au XIXe siècle, sûrement vous savez quelque chose à ce sujet, mais vous savez par exemple que Karen Blixen a utilisé un pseudonyme masculin après que son ouvre  ?










Brontë Soeurs
Pendant le XIXe siècle, la position de la femme comme écrivaine a été dévalorisé. Une preuve des préjuges sociaux de cette époque était le fait dont la majorité des femmes utilisèrent des pseudonymes masculins ou publièrent ses œuvres de forme anonyme parce que les maisons d'édition les  rejetaient, cependant, plusieurs ouvres publiées par ces femmes sont chefs-d’œuvre aujourd'hui. Cela qui nous fait penser que la cause que ces œuvres ne forent pas publiées a été le fait que les écrivains ont été des femmes.

À cette époque la femme n'avait pas la moindre importance, ils ne sont pas pris en compte dans la société, la plupart d'entre elles étaient analphabètes. Cela dépendait du statut social auquel devaient appartenir par héritage, par exemple est le cas des sœurs Brönte, filles de pasteur, elles appartenaient à la classe moyenne et ne pouvaient aspirer à se marier ou être d'enseignantes.Qu'est-ce que le mariage n'a pas aller avec eux parce que pour qu'une demande de dot minimum que son père n'a pas respecté, elles sont décidées de publier ces œuvres  car depuis qu'elles étaient petites elles étaient passionnées pour la littérature, leur première œuvre publiée a été un livre de poèmes et à ce moment-là elles ont commencé à utiliser les pseudonymes Currer, Ellis et Acton Bell.

Jane Austen
Écrivains comme Jane Austen qui a publié son œuvre de manière anonyme avec le pseudonyme « A Lady » ou comme Karen Blixen qui après le rejet de ses romanes dans les maisons d'édition européenne elle a décidé d'utiliser un pseudonyme masculine aux États-Unis. Un autre exemple est Caterina  Albert qui a utilisé un pseudonyme masculin après que son ouvre « La Infanticida » ait provoqué un grand scandale pour traiter un sujet dans lequel une mère tuait sa fille nouvelle-née parce qu'elle avait peur de son père pour avoir été déshonorée, fait qui était impensable pour le rôle de la femme à cette époque.

La principale raison pour laquelle les femmes décident de se cacher sous le nom d'homme pour publier leurs œuvres était par la faute de la société qu'elle voyait les femmes comme des êtres inférieurs, mais dans le cas de Mary Ann Evans il faut ajouter qu'entretenait des relations amoureuses avec un homme marié et pour éviter le scandale a décidé d'utiliser le pseudonyme de George Eliot pour publier leurs œuvres.

Amandine Aurore
Un autre cas est celui de la française Amandine Aurore Lucile Dupin provenant de la famille aristocrate. A mon avis, elle a été avancée à l'époque, revendiqué les droits des femmes, portait avec des vêtements masculins par la commodité des pantalons au lieu des étroites et lourdes robes de l'époque, entraînait scandale après scandale. Elle a eu des relations amoureuses avec des écrivains et des musiciens connus de l'époque, tout ce qui posait était symbole de provocation, Charles Baudelaire a dit d'elle « elle est stupide et vaniteux. Ses idées morales ont la même profondeur de procès et sensitive que les nettoyeuses et maintenues… Le fait que des hommes qui se tombent en amoureux de cette putain est la preuve de combien sous ont diminué les hommes de cette génération ». Malheureusement, en dépit de son style et de sa tentative de lutte constante pour les droits des femmes, elle a dû signer leurs œuvres sous le pseudonyme de George Sand pour pouvoir être publiée.

Ces exemples sont un échantillon de l'héritage culturel subi par les femmes qui continuent d'être reflété dans de nombreux domaines de la société.

Vous pouvez trouver plus d'information à :



Que pensez-vous à ce sujet ? maintenant y a-t-il aucune entrave donc n'importe qui peut publier un livre ?

1 comentario:

  1. C'est incroyable jusqu'à quel point arrive la stupidité humaine tout au long de l'histoire universelle... Juste pour une cause qui devrait être toute naturelle: la liberté et l'égalité. Très bon billet camarades!

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